Ac 19.26Or, vous voyez et entendez dire que non seulement à Éphèse, mais dans presque toute l'Asie, ce Paul a persuadé et détourné une grande foule en disant que les dieux fabriqués par la main de l’homme ne sont pas des dieux.
Es 44.10-20Qui est-ce qui façonne un dieu ou coule une sculpture sacrée pour n'en retirer aucune utilité? Tous ses associés seront couverts de honte. Les artisans ne sont eux-mêmes que des êtres humains. Qu’ils se rassemblent là, qu'ils se présentent tous, et tous ensemble ils seront tremblants et couverts de honte.
Pour confectionner une hache, le forgeron travaille avec des braises, et il la façonne à coups de marteau, il la travaille d'un bras vigoureux. Cependant, il suffit qu’il ait faim et le voilà sans force, qu’il n’ait pas bu d’eau et le voilà épuisé. Le charpentier étire le ruban à mesurer, il fait un tracé à la craie et travaille le bois au ciseau, tout en faisant des marques au compas. Il le travaille sur le modèle d’un homme, d’un être humain dans toute sa beauté, pour qu'il soit installé dans un temple. Pour cela, il se coupe des cèdres, il se procure des chênes et de grands arbres qu’il choisit bien vigoureux dans la forêt, il plante des pins que la pluie fait grandir. L’homme utilise ces arbres pour faire du feu: il en prend une partie pour se chauffer, il en brûle aussi pour faire cuire son pain. Cependant, il les utilise aussi pour se fabriquer un dieu qu'il adore, il en fait une statue devant laquelle il se prosterne! Il brûle la moitié de son bois afin de pouvoir manger de la viande, préparer un rôti et se rassasier. Il l’utilise aussi pour se chauffer et dit: «Ah! Je me chauffe, je vois la flamme!» Et avec le reste il se fait un dieu, une sculpture sacrée! Il se prosterne devant lui et l’adore, il lui adresse des prières en s’écriant: «Sauve-moi, car c’est toi qui es mon dieu!»
Ils n'ont ni discernement ni intelligence, car on leur a fermé les yeux pour qu'ils ne voient pas et le cœur pour qu'ils ne fassent pas preuve de bon sens. Il ne se met pas à réfléchir, il n'a ni le discernement ni l’intelligence de se dire: «J'ai brûlé une moitié du bois, j'ai cuit du pain sur ses braises, j'y ai rôti de la viande pour la manger, et avec le reste je ferais une horreur! Je me prosternerais devant un morceau de bois!» Il se nourrit de cendres, son cœur s’est laissé tromper et l'égare. Il est incapable de se délivrer lui-même et de dire: «N'est-ce pas une fausseté que j'ai dans la main?»
Jr 10.3-5En effet, les coutumes des peuples sont vides de sens. C’est du bois qu’on coupe dans la forêt: la main de l'ouvrier le travaille avec la hache, on l'embellit avec de l'argent et de l'or, on le fixe avec des clous et des marteaux pour qu'il ne bouge pas. Ces dieux ressemblent à un poteau massif: ils ne parlent pas. Il faut bien qu’on les porte, puisqu’ils ne peuvent pas marcher! N’ayez pas peur d’eux, car ils ne peuvent faire aucun mal; ils sont même incapables de faire du bien.
Ac 17.29Ainsi donc, puisque nous sommes de la race de Dieu, nous ne devons pas croire que la divinité ressemble à de l'or, à de l'argent ou à de la pierre, sculptés par l'art et l'imagination de l’être humain.
1Co 8.4Donc, pour ce qui est de manger des viandes sacrifiées aux idoles, nous savons qu’une idole n’est rien dans le monde et qu'il n'y a qu’un seul Dieu.